CULTURE A CHLEF EL ASNAM

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ACTUALITES LOCALES

Tout ce qui relate l'actualité de la région de Chlef - El Asnam


AUTRES TEMPS, AUTRES MENTALITES

                                   Autres temps, autres mentalités

Notre jeune journal de proximité « le chélif » s’est vu tronqué pour cette semaine par la rétention de l’information dont nous avons été l’objet de par les agissements d’un directeur de wilaya qui nous a éconduit sans vergogne en refusant catégoriquement de nous recevoir prétextant par le biais de sa « secrétaire » qu’il était absent alors qu’il était effectivement dans son bureau. C’est du mensonge pur car, pour une première fois, lorsque nous nous sommes présentés à l’appariteur, ce dernier avait téléphoné à la secrétaire pour nous annoncer, il nous a été répondu que le directeur allait nous recevoir dans quelques instants du fait qu’il terminait un certain travail. Nous avions attendu près de vingt minutes et comme nous devions voir un autre directeur, nous avions laissé notre carte de visite à l’appariteur pour la donner au directeur et nous sommes sortis nous dirigeant vers l’autre direction où on nous a reçus dans les règles de l’art et je me permettrais de citer M. Benrebiha Amar, Directeur de wilaya de la culture, qui s’est fait un devoir de nous recevoir. Après cette entrevue, nous nous sommes, une deuxième fois, rapprochés  de ladite direction du commerce pour essayer d’être reçus. L’appariteur nous ayant vu, téléphona à la secrétaire pour lui demander la suite de la demande d’audience, cette dernière après quelques minutes le rappela  en lui annonçant que le directeur n’était pas là. L’appariteur avec un sourire gêné nous fit part de la décision, nous l’en avons remercié en lui souhaitant un au-revoir avec un sourire des plus radieux pour lui faire comprendre que nous avions compris. Nous voudrions seulement dire à ce directeur qu’il est vraiment à contre-courant. Au moment où toutes les instances de la République essaient d’annihiler la bureaucratie de notre champ de vision et du quotidien du citoyen, en l’occurrence, M. Le premier ministre, M. Le Ministre de l’intérieur ainsi que M. Le Wali de Chlef qui ne cessent tous de recommander de dépasser ces agissements contraires à l’étique administrative et aux amendements de notre destour, ce monsieur nous fait revenir à la langue de bois des années soixante en faisant la rétention de l’information. En  tant que journalistes, nous avons le devoir d’informer le citoyen de ce qui se passe dans son fief, dans sa ville, dans son pays et ce monsieur a le devoir de nous accueillir en tant que tels afin de ne pas faire fi du droit du citoyen à l’information. Je crois qu’il est temps d’appeler les choses par leur nom et de dire à ce monsieur de changer de mentalité périmée depuis la nuit des temps et de comprendre que nous sommes en 2014, en ce début du 21ème siècle qui n’attendra pas les retardataires.                                                       

                                           Mohamed Boudia


28/01/2014
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AUTRES TEMPS, AUTRES MENTALITES

                                   Autres temps, autres mentalités

Notre jeune journal de proximité « le chélif » s’est vu tronqué pour cette semaine par la rétention de l’information dont nous avons été l’objet de par les agissements d’un directeur de wilaya qui nous a éconduit sans vergogne en refusant catégoriquement de nous recevoir prétextant par le biais de sa « secrétaire » qu’il était absent alors qu’il était effectivement dans son bureau. C’est du mensonge pur car, pour une première fois, lorsque nous nous sommes présentés à l’appariteur, ce dernier avait téléphoné à la secrétaire pour nous annoncer, il nous a été répondu que le directeur allait nous recevoir dans quelques instants du fait qu’il terminait un certain travail. Nous avions attendu près de vingt minutes et comme nous devions voir un autre directeur, nous avions laissé notre carte de visite à l’appariteur pour la donner au directeur et nous sommes sortis nous dirigeant vers l’autre direction où on nous a reçus dans les règles de l’art et je me permettrais de citer M. Benrebiha Amar, Directeur de wilaya de la culture, qui s’est fait un devoir de nous recevoir. Après cette entrevue, nous nous sommes, une deuxième fois, rapprochés  de ladite direction du commerce pour essayer d’être reçus. L’appariteur nous ayant vu, téléphona à la secrétaire pour lui demander la suite de la demande d’audience, cette dernière après quelques minutes le rappela  en lui annonçant que le directeur n’était pas là. L’appariteur avec un sourire gêné nous fit part de la décision, nous l’en avons remercié en lui souhaitant un au-revoir avec un sourire des plus radieux pour lui faire comprendre que nous avions compris. Nous voudrions seulement dire à ce directeur qu’il est vraiment à contre-courant. Au moment où toutes les instances de la République essaient d’annihiler la bureaucratie de notre champ de vision et du quotidien du citoyen, en l’occurrence, M. Le premier ministre, M. Le Ministre de l’intérieur ainsi que M. Le Wali de Chlef qui ne cessent tous de recommander de dépasser ces agissements contraires à l’étique administrative et aux amendements de notre destour, ce monsieur nous fait revenir à la langue de bois des années soixante en faisant la rétention de l’information. En  tant que journalistes, nous avons le devoir d’informer le citoyen de ce qui se passe dans son fief, dans sa ville, dans son pays et ce monsieur a le devoir de nous accueillir en tant que tels afin de ne pas faire fi du droit du citoyen à l’information. Je crois qu’il est temps d’appeler les choses par leur nom et de dire à ce monsieur de changer de mentalité périmée depuis la nuit des temps et de comprendre que nous sommes en 2014, en ce début du 21ème siècle qui n’attendra pas les retardataires.                                                       

                                                                                    Mohamed Boudia


28/01/2014
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AUTRES TEMPS, AUTRES MENTALITES

                                   Autres temps, autres mentalités

Notre jeune journal de proximité « le chélif » s’est vu tronqué pour cette semaine par la rétention de l’information dont nous avons été l’objet de par les agissements d’un directeur de wilaya qui nous a éconduit sans vergogne en refusant catégoriquement de nous recevoir prétextant par le biais de sa « secrétaire » qu’il était absent alors qu’il était effectivement dans son bureau. C’est du mensonge pur car, pour une première fois, lorsque nous nous sommes présentés à l’appariteur, ce dernier avait téléphoné à la secrétaire pour nous annoncer, il nous a été répondu que le directeur allait nous recevoir dans quelques instants du fait qu’il terminait un certain travail. Nous avions attendu près de vingt minutes et comme nous devions voir un autre directeur, nous avions laissé notre carte de visite à l’appariteur pour la donner au directeur et nous sommes sortis nous dirigeant vers l’autre direction où on nous a reçus dans les règles de l’art et je me permettrais de citer M. Benrebiha Amar, Directeur de wilaya de la culture, qui s’est fait un devoir de nous recevoir. Après cette entrevue, nous nous sommes, une deuxième fois, rapprochés  de ladite direction du commerce pour essayer d’être reçus. L’appariteur nous ayant vu, téléphona à la secrétaire pour lui demander la suite de la demande d’audience, cette dernière après quelques minutes le rappela  en lui annonçant que le directeur n’était pas là. L’appariteur avec un sourire gêné nous fit part de la décision, nous l’en avons remercié en lui souhaitant un au-revoir avec un sourire des plus radieux pour lui faire comprendre que nous avions compris. Nous voudrions seulement dire à ce directeur qu’il est vraiment à contre-courant. Au moment où toutes les instances de la République essaient d’annihiler la bureaucratie de notre champ de vision et du quotidien du citoyen, en l’occurrence, M. Le premier ministre, M. Le Ministre de l’intérieur ainsi que M. Le Wali de Chlef qui ne cessent tous de recommander de dépasser ces agissements contraires à l’étique administrative et aux amendements de notre destour, ce monsieur nous fait revenir à la langue de bois des années soixante en faisant la rétention de l’information. En  tant que journalistes, nous avons le devoir d’informer le citoyen de ce qui se passe dans son fief, dans sa ville, dans son pays et ce monsieur a le devoir de nous accueillir en tant que tels afin de ne pas faire fi du droit du citoyen à l’information. Je crois qu’il est temps d’appeler les choses par leur nom et de dire à ce monsieur de changer de mentalité périmée depuis la nuit des temps et de comprendre que nous sommes en 2014, en ce début du 21ème siècle qui n’attendra pas les retardataires.                                                       

                                                                                    Mohamed Boudia


28/01/2014
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SEMINAIRE REGIONAL DU RESEAU D'ASSOCIATIONS DE DEFENSE DU PATRIMOINE

SÉMINAIRE REGIONAL DU RESEAU

            DES ASSOCIATIONS DE DEFENSE DU

                      PATRIMOINE CULTUREL A TIARET

 

Pendant plus de deux jours consécutifs, le réseau des associations de défense du patrimoine englobant les wilayas de Tiaret, Chlef, Aïn Defla, El Bayadh, Saida, Bechar, etc…. ont été conviées à un colloque de deux jours de travaux pour étudier les résultats du réseau et présenter le nouveau projet relatif à l’aide de l’Union Européenne pour la promotion et la valorisation des associations de défense du patrimoine.

Après une allocution de bienvenue de la part de Mr DAOUD Mohamed, président de l’Association de la Protection du Patrimoine Archéologique de la wilaya de Tiaret (APPAT), président du réseau Resarch, et une présentation des actions entamées et faites pendant la période 2012/2013.

  Photo3826

On fit appel à un spécialiste des projets en la personne de Mr Djebara Ahmed, pour éclaircir l’assemblée sur les tenants et les aboutissants du projet qui a été instruit auprès de l’ambassade de l’Union Européenne à Alger.

 

La parole fut ensuite donnée à Mr Mohamed Boudia, écrivain, vice-président de l’Association Nationale Irth El Djazaïr et président du Café Littéraire de Chlef pour exhorter l’assistance à être beaucoup plus présente sur le terrain pour arriver à contrecarrer les actions nuisibles au patrimoine culturel de notre pays. Il devait en outre dire que la volonté ne suffit pas. Il faut une disponibilité à toute épreuve afin de défendre et de valoriser notre patrimoine culturel tant matériel qu’immatériel.

Il est indéniable que c’est seulement avec la volonté et la participation de tous qu’on pourra donner un élan salvateur de notre action envers le patrimoine culturel pour sa pérennisation dans le temps et sa légation à nos générations futures.

  Photo3833

 

Prenant la parole, Mr Kadi Mohamed, écrivain et président de l’Association pour la Défense de l’Environnement à El Attaf (Aïn Defla) d’apporter un plus à la réunion avec la projection d’une vidéo sur l’environnement et la préservation de notre planète. Il devait ajouter que ce n’est qu’avec la mobilisation de tous qu’on pourra passer le flambeau (allumé) aux générations futures.

 

Un débat s’en suivit et la participation de tous a été fructueuse quant au devenir de nos associations et leur rôle dans la société civile dans tous les domaines pour une prise de conscience de la population vis-à-vis de la défense et de la conservation de notre patrimoine culturel.

 

 

Le créneau de la formation de la formation n’est pas en reste puisque le réseau a eu à former plus d’une cinquantaine de jeunes dans le gardiennage et la guidance sur les sites archéologiques de la région.

  Photo3837

Le projet présenté par Mr Djebara Ahmed se traduit comme suit :

Titre du projet : « Intégration par le réseau "Resarch "du patrimoine archéologique de la zone de Tiaret en milieu de jeunesse pour une lecture apaisée de l’histoire millénaire des territoires »

L’action vise le renforcement et le développement de l’action et l’audience auprès des jeunes du réseau Resarch qui regroupe actuellement une quinzaine d’associations locales du patrimoine, domiciliées principalement dans les wilayas du piémont de l’Atlas Saharien, des hauts plateaux centre et Ouest du pays et marginalement, Chlef, Adrar et Aïn Defla.

  Photo3828

 Il est prévu la formation de plus de 100 jeunes dans des séminaires archéologiques afin de les imprégner de leur histoire plusieurs fois millénaire et les sensibiliser à la protection de l’environnement et du patrimoine culturel de leur région.

 Les jeunes de ces régions ont besoin de puiser dans les fins fonds de leur histoire afin de pouvoir mieux cerner leur avenir et leur existence de par la connaissance effective de leur archéologie et les peuplades qui les ont devancés sur cette terre qui est celle de leurs ancêtres.

 Par le biais de ces formations, on invite les jeunes à s’introduire dans leur passé pour déterminer leur présent et pouvoir ainsi se lancer dans leur futur avec sérénité.

  Photo3836

Il faut inculquer à ces jeunes les dispositifs et les moyens à mettre en œuvre pour la préservation de leur patrimoine culturel et les initier à la valorisation de ce dernier. Beaucoup de sites archéologiques, disséminés sur tout le territoire national ne sont pas encore inventoriés, ni inscrits comme patrimoine national ou universel sont à protéger et à inscrire dans le cursus de protection et de valorisation du patrimoine culturel algérien et universel en général.

 Le manque de moyens n’a pas permis à ces associations de pouvoir jouer leur rôle prépondérant dans la recherche, la formation, la protection et la valorisation du patrimoine culturel, tant matériel qu’immatériel.

 La volonté de coopération entre les associations du réseau Resarch existe mais les moyens qui leur permettraient d’unifier leur action et pouvoir s’imposer face une administration, parfois réticente, en matière de collaboration.

 Objectif général (finalité de l’action)     

- La promotion du patrimoine dans la zone d’intervention

-  Promotion de la mobilité des jeunes

- Développement de l’inter-culturalité et partant de la cohésion sociale

-  Rétablissement du continuum historique auprès des jeunes

                                                                Mohamed BOUDIA


02/04/2013
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SEMINAIRE REGIONAL DU RESEAU D'ASSOCIATIONS DE DEFENSE DU PATRIMOINE

         SEMINAIRE REGIONAL DU RESEAU

        DES ASSOCIATIONS DE DEFENSE DU

         PATRIMOINE CULTUREL A TIARET

 

Pendant plus de deux jours consécutifs, le réseau des associations de défense du patrimoine englobant les wilayas de Tiaret, Chlef, Aïn Defla, El Bayadh, Saida, Bechar, etc…. ont été conviées à un colloque de deux jours de travaux pour étudier les résultats du réseau et présenter le nouveau projet relatif à l’aide de l’Union Européenne pour la promotion et la valorisation des associations de défense du patrimoine.

Après une allocution de bienvenue de la part de Mr DAOUD Mohamed, président de l’Association de la Protection du Patrimoine Archéologique de la wilaya de Tiaret (APPAT), président du réseau Resarch, et une présentation des actions entamées et faites pendant la période 2012/2013.

 

On fit appel à un spécialiste des projets en la personne de Mr Djebara Ahmed, pour éclaircir l’assemblée sur les tenants et les aboutissants du projet qui a été instruit auprès de l’ambassade de l’Union Européenne à Alger.

 

La parole fut ensuite donnée à Mr Mohamed Boudia, écrivain, vice-président de l’Association Nationale Irth El Djazaïr et président du Café Littéraire de Chlef pour exhorter l’assistance à être beaucoup plus présente sur le terrain pour arriver à contrecarrer les actions nuisibles au patrimoine culturel de notre pays. Il devait en outre dire que la volonté ne suffit pas. Il faut une disponibilité à toute épreuve afin de défendre et de valoriser notre patrimoine culturel tant matériel qu’immatériel.

Il est indéniable que c’est seulement avec la volonté et la participation de tous qu’on pourra donner un élan salvateur de notre action envers le patrimoine culturel pour sa pérennisation dans le temps et sa légation à nos générations futures.

 

 

Prenant la parole, Mr Kadi Mohamed, écrivain et président de l’Association pour la Défense de l’Environnement à El Attaf (Aïn Defla) d’apporter un plus à la réunion avec la projection d’une vidéo sur l’environnement et la préservation de notre planète. Il devait ajouter que ce n’est qu’avec la mobilisation de tous qu’on pourra passer le flambeau (allumé) aux générations futures.

 

Un débat s’en suivit et la participation de tous a été fructueuse quant au devenir de nos associations et leur rôle dans la société civile dans tous les domaines pour une prise de conscience de la population vis-à-vis de la défense et de la conservation de notre patrimoine culturel.

 

 

Le créneau de la formation de la formation n’est pas en reste puisque le réseau a eu à former plus d’une cinquantaine de jeunes dans le gardiennage et la guidance sur les sites archéologiques de la région.

 

Le projet présenté par Mr Djebara Ahmed se traduit comme suit :

Titre du projet : « Intégration par le réseau "Resarch "du patrimoine archéologique de la zone de Tiaret en milieu de jeunesse pour une lecture apaisée de l’histoire millénaire des territoires »

L’action vise le renforcement et le développement de l’action et l’audience auprès des jeunes du réseau Resarch qui regroupe actuellement une quinzaine d’associations locales du patrimoine, domiciliées principalement dans les wilayas du piémont de l’Atlas Saharien, des hauts plateaux centre et Ouest du pays et marginalement, Chlef, Adrar et Aïn Defla.

 

 

Il est prévu la formation de plus de 100 jeunes dans des séminaires archéologiques afin de les imprégner de leur histoire plusieurs fois millénaire et les sensibiliser à la protection de l’environnement et du patrimoine culturel de leur région.

 

Les jeunes de ces régions ont besoin de puiser dans les fins fonds de leur histoire afin de pouvoir mieux cerner leur avenir et leur existence de par la connaissance effective de leur archéologie et les peuplades qui les ont devancés sur cette terre qui est celle de leurs ancêtres.

 

Par le biais de ces formations, on invite les jeunes à s’introduire dans leur passé pour déterminer leur présent et pouvoir ainsi se lancer dans leur futur avec sérénité.

 

 

Il faut inculquer à ces jeunes les dispositifs et les moyens à mettre en œuvre pour la préservation de leur patrimoine culturel et les initier à la valorisation de ce dernier. Beaucoup de sites archéologiques, disséminés sur tout le territoire national ne sont pas encore inventoriés, ni inscrits comme patrimoine national ou universel sont à protéger et à inscrire dans le cursus de protection et de valorisation du patrimoine culturel algérien et universel en général.

 

Le manque de moyens n’a pas permis à ces associations de pouvoir jouer leur rôle prépondérant dans la recherche, la formation, la protection et la valorisation du patrimoine culturel, tant matériel qu’immatériel.

 

La volonté de coopération entre les associations du réseau Resarch existe mais les moyens qui leur permettraient d’unifier leur action et pouvoir s’imposer face une administration, parfois réticente, en matière de collaboration.

 

Objectif général (finalité de l’action)     

- La promotion du patrimoine dans la zone d’intervention

-  Promotion de la mobilité des jeunes

- Développement de l’inter-culturalité et partant de la cohésion sociale

-  Rétablissement du continuum historique auprès des jeunes

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


02/04/2013
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